"Windows in the Sky" [Vinyle LP Double - Widespine - Noir]
Paru en mai 2020
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“Windows in the Sky” est le premier album solo d’Alex Henry Foster. Il est composé de 8 chansons. En tout, il y a 1 heure de musique, mélangeant des éléments de post-rock, shoegaze, noise psych, le tout enrobé d’une voix tantôt chantée, tantôt parlée, avec de la poésie d’avant-garde.
Inclut :
- 2 vinyles heavyweight
- 1 pochette widespine
- 2 pochettes intérieures
- 1 insert (30cm x 30cm (L x H))
- 1 carte de téléchargement
- Le lien de téléchargement numérique envoyé lors de l’achat
- Le livret numérique avec les paroles
Liste des chansons :
- The Pain That Bonds (The Beginning Is the End) (5:01)
- Winter Is Coming In (7:45)
FACE B
- Shadows of Our Evening Tides (7:43)
- The Hunter (By the Seaside Window) (14:37)
FACE C
- Snowflakes in July (7:18)
- Summertime Departures (5:23)
FACE D
- Lavender Sky (6:17)
- The Love That Moves (The End Is Beginning) (7:33)
À propos de “Windows in the Sky” :
Écrit entre Tanger et Montréal, “Windows in the Sky” a été conçu dans un état d’isolement émotionnel suite au décès de son père, un fervent croyant dont il a été séparé, après une longue bataille contre le cancer. Foster explore la nature de l'absence de foi, de l’affliction et de la solitude, tout en essayant de trouver l’espoir dans le bouleversement et la confusion qu'amène le deuil.
Dans la même lignée que Radiohead, Swans, Mogwai et Nick Cave, le voyage musical de AHF, à la fois délicat et tempétueux, incarne un singulier mélange d'art rock, shoegaze, noise, psych et krautrock, et il est défini par une voix intime se mêlant à de la poésie parlée introspective. C'est un voyage cinématographique en 8 pistes qui incarnent une voix brisée, essayant de donner du sens aux échos de sa perte, exsudant les dernières pièces de ses croyances, cherchant à se protéger, tentant de préserver les perspectives illusoires de tous les fantômes qui se cachent, les maintenant tant bien que mal en vie; tout ceci dans le but de supprimer l'image douloureuse de la personne qu’il aurait pu devenir, libéré du récit déformé auquel il était lié afin d'éviter de souffrir plus longtemps.