"A Measure of Shape and Sounds" [Vinyle LP]
Paru le 20 septembre 2024
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Imprimé et créé à la Fabrik, l’atelier de création d’Alex Henry Foster.
Pressé chez Drummond Vinyl, l’usine de pressage de disques vinyle d’Alex Henry Foster.
*Veuillez noter que de légers bruits de surface peuvent survenir pendant la lecture, tels que des crépitements occasionnels, des sifflements ou des bruits de statique. Ces bruits sont courants, notamment sur les disques multicolores.
Nos Recommandations :
• Nettoyez votre vinyle avec une brosse conçue à cet effet pour réduire la statique et améliorer la qualité sonore.
• Conservez votre vinyle dans des endroits secs, frais et propres, à l'abri de la poussière et des courants d'air.
• Rangez vos disques debout ou empilés verticalement pour éviter qu'ils ne se plient ou ne se cassent.”
Inclut :
- 1 LP vert et blanc à effet "sunburst"
- 1 Carte de téléchargement
Liste des chansons :
FACE A
1. Thoughtful Descent (2:45)
2. Mechanical Revision (3:41)
3. A Mind’s Tapestry (5:08)
4. Cinematic Insight (4:57)
5. Self-Portrait (2:29)
FACE B
6. Sorrowful Bouquet (6:40)
7. Manic View (2:33)
8. A Gesture, A Present (7:49)
9. Alchemical Connection (2:34)
10. Reflective Ascent (4:30)
À propos de “A Measure of Shape and Sounds” :
Ce qui deviendrait éventuellement le deuxième chapitre de Voyage à la Mer, A Measure of Shape and Sounds, est un voyage intime propre à lui, représentant un profond souffle composé de nombreuses strates de guitares en boucle, de réverbérations, de résonances et d'oscillations juxtaposées ensemble afin de créer un tourbillon sonore multi-directionnel contemplatif. Intentionnellement enregistré en direct afin de capter son flot le plus possible, les chansons incarnées à ce moment exact transportèrent leur disposition humaine, non seulement pour s’abandonner au mouvement, mais pour ne faire qu’un avec lui. Foster a mentionné que « Ça donnait l’impression d’être la représentation d’un mouvement organique qui pourrait en résultante nous rendre libre de l’éco chambre dans laquelle nous aurions pu être prisonnier et ainsi mettre fin à la spirale émotionnelle et le cycle affectif de redondance qui vient trop souvent accompagné de notre vide et notre désespoir…»
Il renchérit : « Bien que j'aie la conviction que nous avions guidé Kimiyo aussi loin que nécessaire sans gâcher son faisceau de lumière naturel en ajoutant soudainement les ombres de notre ambition à tout cela, Ben et moi sentions qu'il y avait plus à explorer et tant de fragments supplémentaires de paysages musicaux ont instinctivement fait surface alors que nous continuions à nous attarder aux sensations vives qui nous impactaient encore tous les deux à cet instant précis. »
Instrumental par choix et minimaliste dans sa conception, c’était capital pour Foster que A Measure of Shape and Sounds, se démarque comme étant son propre organisme vivant, pas comme un faire-valoir ou un ajout à l’entité croissante que devenait Voyage à la Mer. Si Momoka incarnait la voix de Kimiyo, Foster était catégorique sur le fait qu'« aucune introspection n'est vraiment vôtre tant que vous ne l'exprimez pas vous-même. » En ce sens, l’album procurerait une bande son en continue à cette réflexion d'introspection intérieure qui nous invite à nous élever vers l'avant, à dompter les autres voix de captivité auxquelles nous abandonnons habituellement nos désirs ardents de liberté.
Voici ce que Foster a vécu tout au long du processus : « Si ces pièces de nouvelle musique ouvraient déjà la voie, je savais qu’il y avait plus à l’expérience. Pour découvrir ce dont il s’agissait, je devrais complètement abandonner toutes les préoccupations imminentes auxquelles je commençais à réfléchir concernant les paramètres circonstanciels associés à ce qui commençait à ressembler beaucoup plus à un effort de grande envergure que ce que je ne pouvais l’ignorer à ce stade-là. Puisque l’authenticité et la cohérence sont toujours les tamis à travers lesquels je passe chacun de mes projets avant de les lancer, je devrais faire confiance à mon instinct et découvrir ce qui s’était mis à fleurir en profondeur sous mes inquiétudes limitatives, me rappelant que la cohérence a tout à voir avec l’honnêteté et non pas la structure. Contrairement à de nombreuses formes d’art sur lesquelles j’ai travaillé par le passé, ce que j’ai vu bourgeonner de nos sessions d’écriture n’avait pas à être analysé pour déterminer si elles étaient « ça » lorsqu’elles ont fait surface ; elles étaient. L’honnêteté ne peut être fabriquée. »